vendredi 27 août 2010

Bonjour tout le monde!

Les étudiants de Français 3 sont invités à publier des articles, partager des informations et laisser leurs opinions dans ce blog chaque semaine.

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  1. LA ROUTE À SES PIEDS

    Nike 10K à Bogotá 2008. Les colombiens ont fait une journée très forte en athlétisme sur une des compétitions bien connues dans tout le monde.



    Ils étaient prêts pour commencer la rencontre sportive. Ils étaient des jeunes, des vieux, et, surtout des humains anxieux de courir et avec envie de se sentir vifs. Comment est-ce que tout a commencé ? Très facile à dire, mais on devait être là-bas pour bien comprendre. La Nike, après d’avoir fait une sélection des pays à inviter à cette compétition, avait réalisé une campagne de publicité pour attirer des athlètes et des personnes avec le goût pour se mettre à faire de ses mieux et donner tous ses efforts sur la route.
    La Nike savait que les Sud-Américains avaient participé plusieurs fois en championnats et qu’ils étaient aussi forts et compétents pour réaliser une bonne présentation. Après toute la publicité faite, ils ont démarré les délais et les prix pour pouvoir être reçus à la rencontre sportive.
    La route était déjà proposée : au début on sortirait du Parc Simon Bolívar, située au secteur mi-centré de la ville, on traverserait tout la soixante-huit jusqu’’a la cent et après on ferait une demi-cadre pour prendre la quinze ; ensuite on traverserait toute cette rue jusqu’à, finalement arriver à la quatre-vingt cinq, et là on finirait la compétition.
    La rencontre avait lieu à 8h du matin donc il fallait y arriver tôt. Tous on avait déjà fait un processus d’entraînement pour y compéter. L’heure finale était venue. Tous on portait une chemise rouge avec le numéro de compétition et ils étaient en train de se disposer pour la grand route : 10 kilomètres à vivre, à sentir…
    Elle a commencé. Tous ont partis en saluant les personnes qui les accompagnaient en cette aventure. On voyait toute une tache rouge par toutes les rues, on identifiait les athlètes qui étaient là-bas. Pendant toute la cheminée on avait des sites d’hydratation chaque deux kilomètres. À mi-rencontre on trouvait des personnes qui criaient : Allez, allez… Bravo ! Donc on pouvait sentir l’appui des autres. Même s’ils étaient trop fatigués ils continuaient à courir pour arriver, sans air sur ses poumons, à la fin, en donnant tous ses efforts, toutes ses envies de se faire sentir très jeunes d’âme et d’esprit.
    Un homme était en train d’arriver au but et qui était cet homme… Un colombien, parfait ! La victoire est à nous !
    Après la célébration et après que tous les autres athlètes étaient arrivés, on a fait un petit concert pour commémorer le jour du sport à Bogotá, le jour où tous on gagné un peu plus de vie et d’envie à continuer dans ce monde-là.

    M. Carlos Franco
    446839
    Français écrit III

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